Bonsoir à toute l’équipe

Voilà j’ai enfin eu le temps de retranscrire mes notes après ma TCH à La Rochelle, le 18/01/21. C’est un peu long désolée d’avance pour ça, mais c’était encore une expérience tellement riche !

Comme le lien ne fonctionne pas bien sur portables, j’ai fait un copier-coller de mon article pour le partager avec vous.

Dès le réveil, cette journée était programmée pour être consacrée à la spiritualité. En me levant, j’ai vu l’heure miroir 7h07. Comme je ne connais pas bien les significations des heures miroirs, j’ai pris le temps d’en rechercher la signification devant mon café fumant.

Une bulle d’énergie est en train de se former pour préparer une expérience spirituelle voire mystique (avec le recul). Le ton est donné. La journée commence sous le signe de la spiritualité mais elle y était consacrée.

Dès le lever, je me sentais comme dans une bulle. Je suis toujours un peu vaseuse le matin, depuis l’enfance, mais ce n’était pas exactement pareil. Une sensation d’être à ma place.

Arrivée sur place, j’avais hâte que ça commencé. Ma 1re expérience de TCH m’avait laissé un souvenir ravi et beaucoup apporté pour l’année écoulée. Peut-être serait-ce le présage d’un rendez-vous annuel avec le Dr Charbonier ?

En prenant place dans le transat, je n’avais pas d’attente particulière, si ce n’est un beau voyage. Je n’allais pas être déçue. Je m’envolais tel un phénix. Cette fois pas de survol des lieux mais un plongeon dans la mer sous les traits d’un être féminin volant avec de belles ailes translucides qui servaient aussi à nager. Cet être féérique s’est ensuite propulsé hors de l’eau avec une certaine puissance puis je m’envolais.

Après quelques images de paysages puis de galaxie, je me trouvais près du banc. E.T. était assis et me regardait, moqueur. Je pensais alors : “Tiens, cette fois tu as droit aux extra-terrestres.” Je ressentis en réponse que je pouvais à présent explorer cet aspect, si je le souhaitais.

Il faut savoir que les mondes extra-terrestres ne m’ont jamais vraiment intéressée. Je suis profondément terrienne, une vraie fille de Gaia. Si je suis convaincue qu’il existe d’autres planètes habitées, cela ne m’intéresse pas plus que ça. J’étais donc quelque peu étonnée de voir E.T., symbole moqueur de ses congénères, et de recevoir cette autorisation.

Pour autant, je ne me suis pas vraiment aventurée dans la galaxie. Quelques images d’étoiles sous fond noir et j’étais déjà lassée de mon expérience de cosmonaute.

Me voilà donc de retour avec le groupe. J’arrive dans une sorte de salle sans mur comme posée sur un nuage que j’ai déjà plusieurs fois visitée. C’est pour moi l’entrée de l’au-delà. Je vois bon nombre de silhouettes d’hommes, de femmes, des enfants, des personnes âgées, des animaux (chiens et chats essentiellement). Je ne les distingue pas clairement, comme s’ils ne se matérialisaient réellement que pour la personne qu’ils attendaient. Je sais que ce sont tous les défunts de mon groupe de TCHistes, qui attendent l’arrivée de leur proche. Je sais aussi que personne n’est là pour moi. Je pensais donc ne pas m’attarder quand un homme s’avance vers moi. Il sort de la zone semi-transparente pour m’apparaître clairement. Il est grand, très élancé. C’est un homme d’un âge avancé. Il porte un pantalon de velours côtelé marron et une veste très large, chaude, marron ou kaki. Je m’attarde sur l’image de son pantalon, comme s’il voulait la graver dans ma tête.

Comme je commençais à me demander qui il était, je ressens que c’est le père de Marie-Cécile, décédé il y a quelques années. J’ai un flash de Marie-Cécile dans la salle de la TCH. Je comprends que nous faisons le même voyage, d’où la présence de son père pour la voir.

Il me dit : “dis à ma fille que je l’aime. ” Je ressens une émotion très forte. Cet amour est tellement puissant ! Les sentiments semblent décuplés dans l’au-delà. Il me dit ensuite : “Dis-lui que je n’ai pas souffert.” Je perçois alors une réelle plénitude du corps et de l’âme. Puis : ‘Dis-lui de continuer à avancer, de vivre sa vie comme je lui ai appris.” Des larmes coulent sous mon masque face à cette émotion. Je le ressens vraiment dans mon coeur comme une vérité du coeur. Il reste un moment à mes côtés puis nous reprenons chacun notre chemin.

Je vois ensuite un de mes voisins, un assez vieux messieur qui promène toujours son chien avec son épouse près de chez moi. Il n’est pas mort. Pourtant, il est bien là, devant moi. Cela ne m’étonne pas outre mesure car je sais qu’une partie de notre énergie reste dans l’au-delà pendant notre incarnation sur terre. J’ai déjà eu l’occasion d’expérimenter cela en communication avec des animaux vivants dans l’au-delà. Il me dit qu’il va bientôt mourir et me demande de prendre soin de sa femme, de la rassurer après son départ. Je le sens inquiet à l’idée de partir le 1er et de la laisser. Lui aussi me tire quelques larmes.

Enfin, mon dernier défunt est Cheyenne, un cheval que j’ai eu le privilège de connaître et d’accompagner après son départ prématuré. Il me dit d’accompagner sa gardienne, de l’aider.

Ensuite, je poursuis mon voyage à travers des paysages enchantés, peuplés de créatures merveilleuses, d’esprits auréolés et d’animaux resplendissants.

Je m’attarde auprès d’un cours d’eau où des sortes d’étoiles scintillantes glissent dans les frémissements de l’eau. Une créature féérique m’assure que je peux toucher et boire cette eau magique. Elle m’invite à le faire. Je me demande alors si je dois boire dans mon corps physique en même temps, mais l’idée de bouger pour attraper ma petite bouteille me fait y renoncer. Je goûte cette eau dans mes mains puis je me rends compte que mon réflexe était stupide. La nourriture spirituelle est une essence énergétique. Si mon esprit la touche, je la ressentirai aussi dans mon corps physique.

Je poursuis ma route, toujours dans de beaux paysages puis je vois les marais près de chez moi et la plage sauvage où je vais souvent me promener. J’essaie de revenir plus haut, mais ces images reviennent. Je ressens que je suis connectée aux gardiens de ces lieux.

Je ressens que je dois travailler plus la géobiologie (surtout par rapport à l’eau douce voire à l’eau croupissante) en collaboration avec eux et de manière intuitive. Je reçois ensuite un message. L’eau des marais est polluée (réellement et vibratoirement). Je me vois pratiquant un rituel de purification de cette eau en versant de l’eau préalablement élevée vibratoirement et en appelant des élémentaux. Ils se joignent à moi pour le rituel, formant un cercle autour de moi.

Je reçois un autre message. “Trop de sang a été versé sur cette terre. Les équilibres naturels sont perturbés.” Je comprends qu’il s’agit de la chasse. Je revois la horde de sangliers qui est souvent près du pré de mon cheval et les chasseurs au loin. On me montre que je peux, voire que je dois, protéger les animaux sauvages par un voile d’invisibilité. Ainsi, ils ne seront plus visibles des personnes mal intentionnées et seuls ceux qui le doivent seront vus.

Encore perplexe face à ces images, je rejoins le groupe juste avant la communication à la source. Je vois alors une apparition lumineuse. C’est un ange immense avec de grandes ailes d’aigle géant, une armure d’or scintillante et comme un casque de samouraï. Il est doré, orangé et scintille. Il tient une épée de lumière blanche aussi grande que lui. En le voyant, je pense aux images de l’archange Mickael terrassant le dragon, mais il me signifie qu’il est l’archange GABRIEL. Je suis très étonnée de cette rencontre, car je n’ai jamais contacté un ange. Je ne me sens pas particulièrement proche de ces êtres qui renvoient sûrement à un courant trop christique pour la païenne de coeur que je suis. Je n’ai jamais remis en cause leur existence ou leur pouvoir. Je pense en effet qu’il existe plusieurs formes d’esprits élevés pour nous guider et qu’on s’adresse aux uns ou aux autres en fonction d’affinités de cultures ou héritées de vies passées.

Gabriel a posé son épée de lumière sur mes deux épaules, de gauche à droite, comme un adoubement en me disant : “Tu es guérisseur de lumière.” J’ai reçu un soin énergétique de lumière blanche et dorée puis il a répondu à mes questions sur notre avenir collectif qui m’inquiète et à ces mesures liées au corona qui me hérissent littéralement le poil. Il m’a dit que nous étions nombreux à avoir fait le même choix d’incarnation que moi avec la même impatience. Il m’a rappelé que j’avais choisi de venir bâtir ce monde nouveau et plaisanté sur le fait de ne pas reculer devant les difficultés. Puis il m’a dit qu’un monde nouveau, plus beau en sortirait grâce à notre combat. Il m’a rappelé que j’étais là pour émettre de la lumière et aider la terre dans sa transformation.

Il m’a assuré que tous les soucis matériels, financiers, etc. seraient pris en charge là-haut pour m’aider à traverser cette période et à effectuer mon “travail” ici-bas le plus sereinement possible. Pendant la TCH, j’ai reçu mon planning de travail pour février et davantage de missions pour la fin du mois. Des situations se sont dénouées à distance sans que je ne fasse rien. Synchronicités quand tu nous tiens !

Ensuite j’ai savouré mon moment de plénitude avec la source. J’ai posé des questions plus personnelles et demandé guérison et protection pour mes proches. J’ai entendu : “Tu seras exhaussée parce que tu n’as rien demandé pour toi-même.” La source m’a rappelé avec humour de ne pas oublier de faire preuve d’humilité, bien que je sois sur la bonne vie d’un point de vue général (par rapport à mon chemin de vie).

Je suis enfin redescendue dans mon corps physique sous la forme d’un phénix survolant l’océan et qui s’est posé sur une tour de La Rochelle. C’est l’anecdote clin d’oeil de l’univers parce que j’adore ces tours.

A la fin de la séance, j’ai retrouvé effectivement une amie perdue de vue, à qui le père décédé avait un message d’amour à délivrer. Encore une chose qui m’incite à croire qu’il n’y a pas de hasard dans la vie, mais belles synchronicités qu’il faut savoir saisir !